Panique à bord du vapeur
Le vapeur, à bord duquel est monté le voyageur, s’engrave à peine parti de Tours.
L’art de Stendhal pour raconter l’incident est exceptionnel.
Le vapeur, à bord duquel est monté le voyageur, s’engrave à peine parti de Tours.
L’art de Stendhal pour raconter l’incident est exceptionnel.
À Saint-Jean de Braye près d’Orléans, la Loire grignote le terrain de Mademoiselle d’Autroche au point qu’elle adresse cette supplique à Sa Majesté.
Brr… -25°C. L’hiver 1709 a été si dur, si fortement ressenti par les contemporains qu’il est resté dans les mémoires comme le « Grand Hiver », appellation sous laquelle les historiens le désignent encore.
Jean Marie Fanjou, charpentier en bateaux, se déplace à Sully et s’accorde avec Jean Irlay sur les caractéristiques de la toue à livrer : les cotes, les matériaux, les délais, tout est fixé par le marché.
Voici ce qu’il advint le soir d’une chaude journée de juin à Blois. Une plainte est aussitôt adressée au bailli de Saint Laumer en ces termes.
Un moulin à bac, avec ses meules, ses mécanismes, ses ancres, coûte très cher.
La veuve Roguet réquisitionne le notaire pour établir le procès-verbal du naufrage survenu à un de ses bateaux au port de Recouvrance à Orléans. Il est cinq heures du matin.
Exceptionnellement, nous avons ici un document très détaillé concernant une de ces charrières qui faisaient le va-et-vient d’un. bord à l’autre de la Loire. Il suffit de s’y connaître en technique de bateau !
Dimanche 10 août 1653, à la sortie de la messe de l’église Saint-Nicolas, faubourg du Foix à Blois, les paroissiens sont réunis en assemblée . Le sujet à l’ordre du jour est l’état déplorable d’une ruelle.
Le notaire est requis par René Delorme, maitre voiturier par eau d’Orléans, conduisant un train de sept bateaux stationnés au lieu appelé la Roche à un quart de lieue de Nouan-sur-Loire.