Un cadavre un meurtre
Le bailli de Saint-Laumer, accompagné d’un médecin, se rend à l’extrémité du faubourg du Foix à Blois pour identifier le cadavre d’un homme. Horreur !
Le bailli de Saint-Laumer, accompagné d’un médecin, se rend à l’extrémité du faubourg du Foix à Blois pour identifier le cadavre d’un homme. Horreur !
Le 16 avril 1690 le bailli de la justice de Saint Laumer à Blois ouvre une information à la suite de la mort d’Estienne Billault garçon boucher en Vienne. Les chirurgiens qui l’ont examiné ont constaté une importante contusion au coude.
Le vapeur où il a pris place s’engrave à peine parti de Tours.
L’art de Stendhal pour raconter l’incident est exceptionnel.
À Saint-Jean de Braye près d’Orléans, la Loire grignote le terrain de Mademoiselle d’Autroche au point qu’elle adresse cette supplique à Sa Majesté.
Brr… -25°C. L’hiver 1709 a été si dur, si fortement ressenti par les contemporains qu’il est resté dans les mémoires comme le « Grand Hiver », appellation sous laquelle les historiens le désignent encore.
Jean Marie Fanjou, charpentier en bateaux, se déplace à Sully et s’accorde avec Jean Irlay sur les caractéristiques de la toue à livrer : les cotes, les matériaux, les délais, tout est fixé par le marché.
Voici ce qu’il advint le soir d’une chaude journée de juin à Blois. Une plainte est aussitôt adressée au bailli de Saint Laumer en ces termes.
Un moulin à bac, avec ses meules, ses mécanismes, ses ancres, coûte très cher.
La veuve Roguet réquisitionne le notaire pour établir le procès-verbal du naufrage survenu à un de ses bateaux au port de Recouvrance à Orléans. Il est cinq heures du matin.
Exceptionnellement, nous avons ici un document très détaillé concernant une de ces charrières qui faisaient le va-et-vient d’un. bord à l’autre de la Loire. Il suffit de s’y connaître en technique de bateau !